Plutôt que de renforcer les équipes locales, de mettre les moyens en traitements, de contrôler plus strictement – voire de fermer – les frontières, le gouvernement préfère nous gratifier d’une mise en scène médiatique à la mode « Colin Powell » - celui qui nous présentait une fiole vide pour justifier de l’intervention Yankee en Irak, un des plus grand « fake-news » de l’histoire… Nous connaissons la suite et la fin de l’histoire et pourtant, rebelote, voici venir Lecornu alors que le roi est déjà nu !
L’ancien Président Mitterrand ne croyait pas si bien dire quand il attaquait les fondements du régime présidentiel – dont il a lui-même bien bénéficié. Celui qui tient sa place, aujourd’hui, est dans la même continuité au profit des entreprises privées, de préférence les grosses et transnationales, prenant des décisions de non-sens qui mettent en danger la population.
Alors que le pays d’origine du Delta s’est simplement plié au bon sens médical et politique, en traitant massivement les malades, le Delta est – ici - source d’une extraordinaire mise en scène médiatique à seule fin d’imposer une solution « vaccinale » qui commence à être remise en question par ceux qui l’ont déjà fait.
Oui ! Il y a bien une recrudescence de la COVID-19 en Guadeloupe qu’il faut froidement analyser sous quatre angles :
- Le refus des autorités de libérer des traitements existants afin que les médecins soignent en amont. On préfère attendre les complications pour la comptabilité morbide.
- La tension hospitalière qui est récurrente et bien avant la COVID, car elle est la conséquence de la réduction des moyens.
- Le contrôle des frontières qui est sujet à caution. Depuis la mi-juin, c’est pas moins de 5 à 6 gros porteurs (environ 300 passagers par avion) qui laisse circuler le Delta au motif du schéma vaccinal complet ou du test négatif. On sait que le « vacciné » peut être porteur et transmetteur, on sait que le PCR est d’une fiabilité relative.
- Beaucoup de collèges qui sont soit harassés, soit touchés par la COVID, donc en arrêt.
Environ une centaine de soignants, originaires de l’ile et en congé bonifié, ont répondu à l’appel du Ministère de la santé mais ont eu droit à une fin de non-recevoir. C’est plus classe qu’un ministre vienne avec un sac de riz sur le dos devant les caméras. Cela démontre que les autorités sont dans le show médiatique permanent pour affirmer une raison Régalienne, de plus en plus irrationnelle.
Ainsi, le gouvernement a choisi de punir une population rétive à son choix en la méprisant et en foulant au pied la Cour Européenne des Droits de l’Homme et l’OMS qui se sont prononcées contre l’obligation « vaccinale », juste par péché d’orgueil.
S’il n’y avait pas des vies humaines en jeu, nous serions tentés de qualifier de stupide cette gestion. Mais le nombre de victimes qui ont succédé, succèdent et succéderons aux erreurs de nos dirigeants sera finalement une hécatombe, ce qui nous oblige à considérer cette gestion comme très dangereuse, si ce n’est plus.
Pourquoi une telle obsession pour un essai clinique d’une technologie non encore maitrisée sur l’homme et sans garantie ni recours ? L’annonce est même déjà faite d’un abonnement à la Box-ARN, c’est donc une gestion idéologique et non sanitaire. Une jeunesse marquée à jamais, une souffrance psychique s’incrustant dans toute la société, une économie à plat, des travailleurs et des familles entières décimées, une sécurité sociale qui en sortira exsangue, une science livrée à des ayatollahs affairistes, des libertés publiques - des droits humains et sociaux affectés substantiellement, sans compter les morts qui auraient pu être évités… Voilà le triste bilan de cette gestion calamiteuse.
En arriver à laisser volontairement circuler le virus en masse depuis l’hexagone, à montrer des images de 2020 en boucle, à refuser les professionnels compétents sur place, à faire venir des pompiers de l’hexagone alors que beaucoup de jeunes volontaires locaux connaissent le terrain, à faire de son choix une obsession indépassable alors que d’autres pays l’ont abandonné ou modulé, à théâtraliser la souffrance humaine, à remonter les bretelles des élus locaux, à culpabiliser une population harassée, à faire entrer des policiers et des militaires en toute discrétion… démontre la perversion de ces nouveaux maitres d’habitation qui veulent se venger des mawons qui, visiblement, ont mis le feu dans leur champ de canne-à-ARN.
LA FSAS-CGTG REAFFIRME QU’IL Y AURA DES COMPTES A RENDRE
POUR FAIRE JUSTICE AUX VICTIMES DE LEURS DECISIONS !
LA FSAS-CGTG CONDAMNE LA POLITIQUE DE DIVISION DE LA POPULATION !
CONFINEMENT ANTI-CONTESTATION OU PAS, TOUS A BOUILLANTE
LE SAMEDI 14 AOÛT 2021 (MASQUES ET PRECAUTIONS) !
LA FSAS-CGTG EXIGE :
- DES MOYENS ET DES TRAITEMENTS POUR SOIGNER !
- L’ARRÊT DE LA REFORME DE LA RETRAITE ET DE LA REFORME SUR LE CHÔMAGE !
- LA RECONNAISSANCE DU TRAVAIL DES PROFESSIONNELS !
- LE RESPECT DE LA LIBERTE INDIVIDUELLE DE PARTICIPER OU NON A L’ESSAI CLINIQUE A BASE D’ARN CONTRE LA COVID !
- L’ARRÊT DU LAISSEZ-PASSER DE DISCRIMINATION SOCIALE !
- L’AUTORISATION POUR LES VACCINS CLASSIQUES EXISTANTS DEJA OU EN PASSE DE L’ÊTRE !
- LE RETRAIT DE CETTE LOI ANTIDEMOCRATIQUE ET CONTREPRODUCTIVE SUR LE PLAN SANITAIRE !
Sa-y pè, dépè !
Basse-Terre, le 11 Août 2021