Les confusionnistes à l’orée des chiffres !

Publié par FSAS-CGTG sur 16 Septembre 2021, 21:36pm

« On peut discuter de tout sauf des chiffres ! », voilà comment un spot de propagande présente l’impératif « vaccinal » en faisant la corrélation entre le nombre d’hospitalisés et le nombre de « non-vaccinés ». Cette manière très simpliste, partielle et partiale de traiter un sujet aussi grave est l’expression même de leur mépris, jouant des chiffres comme ils l’entendent au point de volontairement faire des confusions pour tromper la population. Mais la propagande est en train d’échouer sur le mur des récalcitrants insulaires malgré la souffrance, la culpabilisation, leurs erreurs et leurs mensonges… La colère de la population couve !

La première confusion est de qualifier l’injection ARN de « vaccin nouvelle génération » et ceci, pour laisser entendre que l’on bascule d’une vieillerie démodée et inefficace à une nouveauté bien plus efficace. Le problème est que cette prétention est, chaque jour, remise en question par la réalité du terrain dans les pays les plus « vaccinés » et yo té ka blagé sa !

La deuxième confusion est de se planquer derrière les vaccinations obligatoires existantes, notamment pour les soignants. Sauf qu’ils oublient, sciemment, de préciser que ce ne sont pas des « vaccins ARN » et que jamais un de ces vaccins n’a été obligatoire en moins de 6 mois. La moyenne est de 10 ans, permettant le recul médical nécessaire.

Mais la confusion la plus grave est dans les détails des chiffres qu’ils utilisent à seule fin de terroriser la population sur la situation sanitaire et les pousser à l’injection ARN, seule porte de sortie selon eux. Le diable étant dans le détail, il est indispensable de démasquer leurs stratagèmes.

Ainsi, il y aurait plus de 5 milliards d’individus vaccinés, Certes ! Et nous nous en félicitons… mais pour les 2 milliards de Chinois et les 2 autres milliards d’autres pays qui ont fait le choix de vaccins classiques ou à vecteur virale (avec adénovirus humain, bien loin d’Astrazeneca) : Cuba – Russie – une partie de l’Inde – Iran – Plusieurs iles de la Caraïbe – Plusieurs pays d’Europe, d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et autres… Bien entendu, ces chiffres concernent les premières injections !

La France est parmi les très rares pays à avoir pris l’option de l’obligation « vaccinale » ARN, même les chinois n’ont pas osé ! Visiblement, la France a voulu passer en force pour imposer une thérapie génique bien plus rentable, les chiffres d’affaires des laboratoires concernés surfent sur les milliards d’euros et sans aucune responsabilité juridique des laboratoires en cas de conséquences graves… Qui dit mieux ? Elle n’est pas belle la vie ?

Si on en croit les chiffres officiels, plus de 70% de la population Française et 80% des soignants seraient vaccinés, donc protégés contre la cinquième vague qui arrive pour Décembre, bien évidement cela concerne à nouveau les premières injections et ce n’est pas gagné pour la deuxième, au regard de l’actualité internationale désastreuse qui défile en défaveur de l’ARN. Pour écouler le stock et parer à ce risque, on parle déjà de troisième voire de quatrième dose. Une vraie gabegie de fonds publics pour faire plaisir aux financeurs de « présidentielles » et se garantir l’avenir… Il était possible de faire mieux et moins cher avec l’assentiment de la population, où est la gestion sanitaire dans tout ça ?

La pire confusion est dans le décompte morbide et culpabilisant, une méthode infecte et digne de régimes totalitaires qui imposent l’absurde en s’appuyant sur des complices opportunistes ou lâches.

Nous attendons impatiemment les derniers chiffres de l’INSEE concernant les décès de 2019 – 2020 – 2021 en termes de décès pour porter une analyse tout autre que celle de l’ARS. Dors et déjà, l’INSEE nous apprend que pour la même période – du 1^er au 23 Août - et sur les trois années, il y a deux deltas : 189 décès COVID et 145 décès non-COVID sur un total de 575 décès.

Cela appelle quelques remarques quant à l’usage des chiffres selon l’objectif poursuivi. Il n’est pas nécessaire de rappeler qu’on ne meurt pas que de la COVID, mais les chiffres nous démontrent qu’en dehors de la mortalité « naturelle » nous avons eu à faire face à une grande mortalité collatérale qui mérite une explication à froid hors propagande gouvernementale bien trop polluante et subjective. Nous avons notre petite idée, beaucoup de patients souffrant de comorbidités lourdes sont vraisemblablement passés par la case absence de soins par peur de sortir de chez eux.

Enfin, il y a un tabou que l’ARS balaie d’un revers de main et qui n’est autre que celui des personnes « vaccinés » qui meurent - première dose et deuxième dose à moins de 15 jours – décomptés comme non « vaccinés », sans comptés les deuxièmes doses à plus de 15 jours. Selon les témoignages de beaucoup de familles, ils existent bien et en grande quantité, il vas bien falloir lever le voile sur ce petit secret qui permet de gonfler les chiffres des non « vaccinés » pour apeurer la population et l’enfermer dans l’entonnoir de la « vaccination » obligatoire.

La FSAS-CGTG n’est aucunement dans le déni de la réalité du nombre de morts COVID mais dénonce la violence institutionnelle contre une population qui n’est pas « anti-vax » mais préfère avoir le choix, particulièrement en termes de traitements précoces et de vaccins conventionnels. Après des années de restrictions budgétaires (suppression de lits, suppression de services dont la cardiologie en télémédecine, réduction de services drépanocytose, non-remplacement de personnels partis en retraite…), leur seul curseur de gestion sanitaire devient l’ARN, lamentable !

La FSAS-CGTG demeure toujours très prudente sur les injections ARN et dit aux autorités, si zôt sé Moun : Vous avez instauré l’obligation vaccinale, pas l’obligation ARN, alors mettez des vaccins conventionnels (Sinovac, Soberana, Abdala, Valneva…), ou même le spoutnik (Vaccin à vecteur viral très efficace) à la disposition de la population… Chiche !

LA FSAS-CGTG EXIGE :

DES MOYENS ET DES TRAITEMENTS POUR SOIGNER !
LA RECONNAISSANCE DU TRAVAIL DES PROFESSIONNELS !
LE RESPECT DE LA LIBERTE INDIVIDUELLE DE PARTICIPER OU NON A L’ESSAI CLINIQUE A BASE D’ARN CONTRE LA COVID !
L’ARRÊT DU LAISSEZ-PASSER SANITAIRE !
L’AUTORISATION POUR LES VACCINS CLASSIQUES EXISTANTS DEJA OU EN PASSE DE L’ÊTRE !
LE RETRAIT DE CETTE LOI ANTIDEMOCRATIQUE ET CONTREPRODUCTIVE SUR LE PLAN SANITAIRE !