A la télé, ce mardi, nous avons eu droit à un véritable procès à charge contre la résistance à la doxa ARNmiste. Dans un atmosphère funèbre et un entre soi strictement cadenassé, un "débat" sans contradicteur semblait vouloir donner la réplique à l'affront d'une autre émission sur les effets indésirables de la "vaccination" génique qui, elle-même, avait généré la colère épistolaire du baron de la C.C.I.. Mal leur en a pris, l'attitude et la certitude des "individus" prétentieux sur le plateau convoquaient plus la religion que la science à force de vouloir défendre, irrationnellement, les erreurs et autres incohérences d'un pouvoir politique qui nous conduit droit au suicide sociétal. Tout cela dans une ambiance carnavalesque, avec masque ou sans masque... "Les guignols de l'info" faisaient bien mieux avec leur humour infernal qui amenait à réfléchir, un tant soit peu, sur le sujet traité.
Alors que tous les pays du monde qui avaient adopté le "tout vaccinal ARNm" sont en train de changer leur fusil d'épaule, cette religion a toujours ses ecclésiastiques dogmatiques prêts à faire appel à l'inquisition médiatique pour écarteler les idées dissidentes qui refusent de comprendre que seuls ces prélats ont - pardon ! - sont la connaissance dans toute sa lumineuse sainteté. Faut-il vraiment jouir du suffixe "logue" pour comprendre l'évidence ?
Israël, pays pionnier et référent de cette religion - et nous parlons toujours du 'tout vaccinal ARNm" - ferait même face à une dramatique hospitalisation de personnes gravement malades et... "vaccinés" s'il vous plait. Ce pays prévoyait une quatrième dose mais s'est rétracté devant l'évidence, beaucoup de spécialistes s'en doutaient déjà avant-même les premières injections, de la non-pertinence de cette technologie de manière aussi massive.
Pourtant cela reste le choix de Jupiter par imposition et contre la volonté de la majorité. Nous disons bien "imposition" car les cocoricos sur le taux vaccination en France n'auraient jamais atteint ce niveau si ce n'était pas le cas quand on voit que juste pour prendre un café il faut, désormais, un passe vaccinal. Malgré tout, les langues se délient petit à petit et beaucoup de scientifiques commencent à sortir du silence dans lequel les autorités les avaient embastillés.
Et il n'empêche que les faits sont têtus, comme le disait si bien Lénine, moins de 40% de la population Française et moins de 15% de la population Guadeloupéenne ne répondent aucunement au nouveau schéma "vaccinal" et Omicron a démontré que la terrorisme sanitaire de Véran n'est qu'une escroquerie intellectuelle de plus à adjoindre aux nombreuses inepties scientifiques, erreurs et incohérences de ce gouvernement depuis Janvier 2020.
Pourtant, et en désespoir de cause, nous avons assisté à une véritable mise en scène pro-Pfizer et pro-Moderna sur la télévision publique. Une indiscrétion nous apprend que le Ministère de la santé et l'ARS, sous le coup de boutoir du grand architecte de l'univers industriel des iles de Guadeloupe et de son bébé - "Nou bon épi sa" - ont mis la pression sur la production pour corriger la faute impardonnable commise par une honnête journaliste qui croyait faire son travail en organisant un débat contradictoire sur les effets secondaires de cet essai clinique massif.
Cette comédie pseudo-scientifique conduite par des VRP bien préparés n'a finalement eu aucune incidence, pour reprendre le terme fétiche de l'ARS, sur la Guadeloupe complètement médusée d'entendre un de ses fils se la jouer de manière très péremptoire, allant jusqu'à qualifier d'"individus" celles et ceux qui ne croient pas en sa religion. Le choix de l'innommable n'est pas un hasard, c'est la conséquence même de la complète déconnexion de gens sous l'empire de l'égo et les autorités savent en tirer partie... Triste spectacle pour une ile qui a vu naitre les Beauperthuy, Le Dentu, Pautrizel, Pitat et Henry Joseph pour ne citer que ces hommes de science engagés en toute humilité !
Se barricader derrière la seule porte de sortie choisie et la déclarer unilatéralement comme étant unique est d'une malhonnêteté scientifique que la population, dans grande sagesse intuitive, évalue parfaitement. Elle a bien compris à quel point la tricherie, les mensonges et les intérêts particuliers constituent intrinsèquement toutes les décisions qui sont prises depuis deux années. Quant à ceux qui osent se faire les porte-paroles de cette population, ce sont les dignes héritiers de ceux qui ont crée la Sécurité Sociale, un véritable État dans l’État, pour aider à éradiquer les maladies qui décimaient cette population, y compris avec des vaccins. Ils n'ont aucunement eu besoin de suffixe "logue" pour faire leur devoir d'humanité qui tranche avec la quête du gain que l'on constate de nos jours... Et c'est bien cela qui dérange !
Finalement, nous allons devoir tirer une grande leçon de cette longue tragédie sanitaire qui nous a démontré les liens sous terrains qui créent les mouvements tectoniques de l'argent. Depuis les débuts de l'apparition de la COVID, tout est fait pour écarter ce qui fonctionne à moindre coût au profit de ce qui ne fonctionne pas mais qui rapporte beaucoup. La santé de la population n'est qu'un prétexte sans compter l'opportunité de mise en place d'un système de contrôle social qui ne semble déranger aucun des offusqués du jet de pissat. La prévarication et la corruption donnent le La dans cette symphonie Public-Privé contre les grands principes Démocratiques et Républicains et les gagnants ne s'en cachent même plus. A force de guignolades, les grands gestionnaires de la COVID ont fini par se prendre vraiment au sérieux au dépens de la science !
Quoiqu’il en soit, la FSAS-CGTG :
- Condamne fermement la volonté farouche du gouvernement d’imposer aux soignants, aux intervenants du médicosocial, du social et des services à la personne, aux enfants puis à toute la population, une stratégie dite « vaccinale » à répétition qui ne règle en rien cette pandémie mais jette le discrédit sur la science et remplie les poches des fabricants.
- Dénonce fermement le passe vaccinal destiné à asservir les citoyens et non à juguler la COVID.
- Dénonce et combat toutes les tentatives de division de la population sur le fondement sanitaire.
- Exige de l’État une posture responsable par sa participation à la table de négociation.
- Exige une dérogation à l’application de la loi du 05 Août 2021. Ce qui fût possible pour le Chlordécone doit l’être pour la COVID.
- Exige la réintégration de tous les professionnels suspendus, salariés- agents et libéraux.
- Récuse toute tentative de licencier-écarter les suspendus sur la base de l’abandon de poste, issue trouvée par les autorités après la suppression du licenciement par le sénat, alors qu’ils ont été mis en situation de non-travail en total irrespect du contrat de travail.
- Exige l’arrêt des réformes et de la T2A, sources premières des difficultés hospitalières.
- Exige le respect de la liberté de prescrire des médecins, meilleur porte de sortie.
- Exige des moyens pour soigner et accompagner en toute sécurité.
- Exige des traitements efficaces, moins couteux et expérimentalement vérifiés dans d’autres pays. Des repositionnements de molécules sont avérés mais, jusqu’à ce jour, le déni des autorités est manifeste.
- Exige l’autorisation de vaccins conventionnels plus efficaces et moins chers, l’expérience Cubaine étant l’une des meilleures pistes.
- Exige la formation de jeunes professionnels dans la santé, le médico-social, les services à la personne… afin de combler le manque de personnels.
- Exige un véritable plan de réorganisation sanitaire, gérontologique et médico-sociale sur le fondement des réalités archipélagiques, sismiques, volcaniques et cycloniques de la Guadeloupe.
- Appelle tous les professionnels du sanitaire, du médicosocial, du social, des services à la personne et la population, à continuer la mobilisation contre la loi du 05 Août 2021. « Vaccinés » ou non, le principe du danger implicite de cette loi demeure toujours pour la société entière.
Basse-Terre, le 07 Février 2022