Tract Fédéral du 04 Juillet 2022 : POUR LE RETOUR DU BON SENS ET DE LA SCIENCE !

Publié par FSAS-CGTG sur 4 Juillet 2022, 20:06pm

Peu ou prou, quelques rayons de lumière finissent par pénétrer le bol opaque et totalitaire qui nous recouvre depuis deux - bientôt trois - bonnes années. Le 12 juillet à venir sera l'anniversaire de la plus stupide des décisions politiques en matière sanitaire depuis le moyen-âge et sa cohorte de charlatans qui trompaient même les princes. Le 17 Juillet, sera l'anniversaire d'une remarquable résistance populaire, quoiqu'on en dise, qui bouscule encore les mauvaises consciences jusqu'à les hanter nuit et jour. Que n'avons-nous pas entendu pour apeurer la population qui avait bien compris qu'il n'y avait rien de sain dans cette gestion dite sanitaire et qui a fini par exprimer son vrai visage de gestion idéologique au profit de seulement la finance internationale, aidée en cela par une corruption généralisée.

Quatre Milliard de doses d'ARNm, excusez du peu, commandées par l'Union Européenne pour une population d'environ 450 Millions, il n'y a aucun doute que nos stratèges prévoient une longue vie au Coronavirus mais aussi, et surtout, aux comptes bancaires de trois ou quatre laboratoires bien ciblés. Il semble que nous serions à la veille d'une septième vague avec des mini-Omicrons venu d'Afrique-du-Sud - sans désastre aucun - mais il faut s'en servir pour poursuivre ce que seul savent faire nos technocrates : Kouyonné Moun !

Pourtant, le bon sens semble réapparaitre notamment en Autriche, membre de l'U.E. qu'on ne saurait qualifier d'Etat "complotiste", qui vient d'abandonner l'obligation vaccinale pour tous - après l'avoir suspendu en Mars - au seul constat de son inefficacité scientifique. En France, après une vaine tentative de faire oublier cette magistrale erreur scientifique en commettant une autre erreur qui est de soutenir un clown président face à la puissante armée Russe, leur réalité nous rattrape et nous avons droit aux mêmes masturbations médiatiques de 2021 sur la COVID... Malgré le doute grandissant chez ceux qui se sont laissés prendre au jeu des doses sous le prétexte de faire confiance à "la science".

Quelle science ? Tout comme les Droits de l'Homme et la civilisation, voilà des concepts qui ne servent qu'à asservir et, quelques fois, avec l'appui d'esprits éclairés. Victor HUGO n'avait-il pas soutenu l'impérialisme Français en Afrique au nom de la nécessité de civiliser les sauvages ? Des milliard ont été engloutis pour faire la guerre à l'IRAK, la LIBYE et la SYRIE au nom de la démocratie et tout le monde sait, aujourd'hui, que le but était de créer le chaos pour piller le pétrole et le gaz dont a tant besoin la machine capitaliste... Malgré la fiole du général Colin POWELL qui nous était présentée comme preuve scientifique des intentions "malsaines" de Saddam HUSSEIN.

Des Milliard ont été jetés dans la technologie ARNm - couteuse et inefficace, puisqu'elle ne protège en rien comme un vrai vaccin - alors qu'on a tout fait pour barrer la route à la vielle technologie pasteurienne d'une société Française qui n'a eu d'ailleurs la vie sauve - et depuis la semaine dernière - que parce que PFIZER est entré dans son capital... On n'est jamais assez prudent qu'en ayant un pied dans la cour du concurrent le plus sérieux. Le monde du capitalisme n'est accessible qu'aux initiés mais de là à nous prendre pour ce que nous ne somme pas, çà commence franchement à se laisser voir !

Des Milliard sont et seront versés en armement et reconstruction en UKRAINE au nom des Droits de l'Homme qui, curieusement, n'existent ni en LIBYE ni au YEMEN et encore moins en AFRIQUE. Le problème avec nos moralistes va-t-en-guerres seulement quand çà les arrange c'est qu'ils oublient, sciemment, d'informer que c'est nous qui paieront la facture finale. Et nous la payons déjà de par l'augmentation du prix du carburant venant du nord alors que nous sommes flanqués à quelques encablures du Venezuela et de Trinidad... En face de Baillif, il y a même un ilot Vénézuélien, cherchez la logique économique quand les décisions sont prises dans l'intérêt d'autres que nous.

Certains prétendent qu'un autre Monde est possible, il semble bien que le Monde soit en train de changer sous nos yeux et que l'UKRAINE soit l'une des dernières escroqueries, après la gestion de la COVID, au profit d'un monde multilatéral avec effondrement de l'Euro et du Dollar et toutes les conséquences qui suivront. Quant à l'endettement et le non-usage de la planche à billet qui nous étaient servis comme arguments intangibles pour refuser les investissements publiques, il ne semble pas être si intangibles que cela quand il s'agit de tenter de sauver le grand capital... Il faut dire que la "science économique" n'est pas une science exacte, encore moins quand elle est pensée par des escrocs.

Ceux qui nous traitaient de vodouisants, d'arriérés ou de complotistes - simplement parce qu'ils avaient développé l'instinct primaire de la peur de mourir - en ont pour leur compte aujourd'hui en regardant le désastre des erreurs successives de nos décideurs politiques qui n'ont cure ni de la population ni du sens du pays. Il suffisait de million pour avoir une santé publique organisée et efficace, ils ont fait le choix de jouer des milliard au "grenndé" parce qu'ils n'ont aucun projet politique qui mette l'humain à sa vraie place... Mais c'est nous, ces humains damnés de la terre, qui paieront la facture sauf si nous décidons d'y mettre un terme !

Une chose est sûre, la science n'en sortira pas grandie de cette "gestion sanitaire" soutenue par le scientisme géniste et l'idéologie transhumaniste. Ce fût déjà le cas avec le scientisme racialiste qui a soutenu l'impérialisme Européen et le Nazisme... Pourtant, le temps est venu pour que la raison humaine surpasse la bêtise humaine, pour que le bon sens remplace le non sens, pour que la science dépasse le scientisme afin que, dans notre humanité, nous retrouvions goût à la vie.

La Guadeloupe a donné l'exemple de par sa résistance et son combat, n'en déplaise aux dictionnaires de noms d'oiseaux, et peut en être fière en dépit des difficultés et des conséquences. Nous savons que la prolongation du Pass fera l'objet d'un projet de loi qui sera débattu dès ce 11 Juillet mais, au stade où nous en sommes, toutes les théories pseudo-scientifiques pro-ARNm sont tombées à l'eau et rien ne justifie que des centaines de soignants et accompagnants sociaux soient dans la rue alors que la société a besoin d'eux. Rien ne justifie que les libertés publiques continuent à être battues en brèche si ce n'est une intention malsaine et inavouée.

Voilà pourquoi, la FSAS revendique une autre orientation sanitaire pour l'Archipel qui passe par :

L’arrêt de l'obligation vaccinale et la réintégration du personnel suspendu (Public, privé et libéral).
La formation de jeunes aux métiers sanitaires en soulignant les spécialités manquantes.
La remise en question de toutes les réformes appliquées depuis le Gouvernement Sarkozy.
L'abolition des A.R.S. au profit d'une véritable Direction Territoriale de la santé et du médicosocial.
L'arrêt immédiat de la T2A et la révision à la hausse du coefficient correcteur.
L'abandon du G.H.T. au profit d'une réorganisation coopérative hospitalière et non centralisatrice.
La redéfinition de l'action sanitaire en subdivisant le territoire pour rapprocher le soin de la population.
La sanctuarisation le nord-ouest de la Basse-Terre et ses hôpitaux (C.H.L.D.B. et C.H.M.S.) - de par sa stabilité géologique - comme repli sanitaire en cas de grande crise tellurique.
Le renforcement des hôpitaux de Saint-Martin et de Marie-Galante, si la télémédecine est une avancée elle ne peut être considérée comme la panacée sur des iles à risques majeurs.
Le renforcement de la psychiatrie et de ces structures extrahospitalières.
La mise en place d'un véritable secteur gériatrique et gérontologique autour de Palais-Royal.
L'articulation plus efficiente entre le sanitaire et le médicosocial.
Une véritable réparation du scandale de la chlordécone.
Le maintien et le renforcement des C.H.S.C.T., véritable contre-pouvoir du personnel soignant au profit des soignés.