COVID : Mais que sont nos charlatans devenus ?

Publié par FSAS-CGTG sur 28 Octobre 2022, 11:25am

Nos "sauveurs de l'humanité" qui ne manquaient pas de traiter les petites gens sensées de dangereux complotistes, il y a encore quelques mois, sont tout d'un coup bien silencieux depuis qu'un vent de réalisme et de vérités tourne dans le monde. Evidemment, il n'est pas facile de se dédire, surtout lorsqu'on a mouillé sa chemise jusqu'à faire croire que la seule compétence médicale ou le seul diplôme scientifique suffisaient à faire de son discours crétin et dangereux, une vérité quasi divine. Les mêmes qui nous traitaient d'irrationnels vivaient dans leur bulle de certitudes mâtinées de tromperies, de corruptions et de prévarications. Le temps et la raison remettent progressivement les pendules à l'heure et la vraie science, torturée durant plus de deux années, reprends sa place... Panique à bord !

Beaucoup doivent commencer à avoir les selles liquides avec autant de bonnes nouvelles pour la science et l'humanité. Durant près de trois années, et çà continue toute honte bue, il n'y avait qu'une seule et unique porte de sortie : ne rien faire comme on savait faire et attendre le Saint-Esprit de l'ARNm. Il n'a pas tardé à arriver, sans respecter ni méthodologie ni déontologie, et devait donner l'onction guérisseuse à tout un chacun mais il semble bien qu'un grain de sable se soit immiscé dans la mécanique de la secte des adorateurs de l'acide ribonucléique.

La première pièce qui a sauté est dans le cœur même de cette mécanique. Une responsable haut placée de Pfizer a fini par reconnaitre publiquement devant des députés Européens, qu'aucun essai préalable n'a été mené pour affirmer que le "vaccin" serait efficace pour empêcher la contamination par la covid. Ce qui doit être une bombe quasi atomique a été transformé en pétard mouillé par toute la clique journalistique financée par les milliardaires. Le journal "Libération", en bon gardien du temple, n'hésite pas à s'interroger sur ce qu'à vraiment dit la petite dame-fusible qui a remplacé le PDG à la dernière minute... Il faut dire que nous sommes des abrutis, en tout cas dans la tête des adorateurs de l'ARNm.

La deuxième pièce qui a sauté est le blanchiment - devant le Conseil de l'ordre - du Pr Christian PERRONNE, une pointure sur le sujet que l'on a cherché vainement à faire taire, comme tant d'autres médecins et scientifiques. Que pouvait-on lui reprocher sinon d'avoir fait son travail de médecin ? Le dilemme était compliqué de prime abord mais l'explosion de la première pièce a dû inspiré à plus de mesure et de précaution. Les certitudes d'hier ne peuvent plus tenir, malgré les dernières publicités officielles pour confondre grippe - dengue et covid, devant l'évidence qui commence à dévaler les pentes pire que FIONA.

La troisième pièce qui a sauté est la déclaration, dans un autre gardien du temple - le journal "Le monde" s'il vous plait, d'Agnès BUZYN notre Ministre de la santé du début de la pandémie. En lisant cet article, nul doute que la mère Buzyn lance un avertissement aux différents membres du gouvernement, elle ne compte pas servir de fusible pendant que d'autres se la couleraient douce. Certains lui reproche de ne pas avoir réagi plus tôt mais il vaut mieux tard que jamais... Les temps à venir nous réserve certainement des surprises !

La quatrième pièce qui a sauté est l'apparition exponentielle de mort dite "subite", si tant est cela ait du sens, et de phénomènes vraisemblablement conséquents à l'injection ARNm mais que de nouvelles têtes médicales médiatisées s'aventurent à infirmer comme les premiers affirmaient que le "vaccin" était efficace à 95% . Tout bon scientifique qui se respecte hésitera à faire des affirmations sans douter et vérifier mais, depuis deux années, nous assistons à une science ecclésiastique avec son dogme indépassable.

La cinquième pièce qui a sauté est l'excuse publique d'un haut responsable politique canadien envers les professionnels suspendus du Canada, mais aussi la dernière décision de la cour suprême de l'Etat de New-York qui a ordonné la réintégration et le rétro-paiement des employés non-vaccinés. Nous assistons, ailleurs, de plus en plus à cette posture politique et judiciaire sauf en France.

A d'autres pièces qui sautent progressivement et naturellement, nous y ajouterons l'incapacité du gouvernement à faire paniquer avec sa huitième vague fantasmagorique. Il est troublant, par ailleurs, que la Guadeloupe avec ses plus de 80% de non-vaccinés et son système sanitaire défaillant soit en meilleur posture que l'hexagone... avec ses plus de 80% de vaccinés. La peur de l'évidence pousse à faire remonter les chiffres de COVID en moins d'une semaine sur l'ile mais le virus circule et nous nous adaptons comme pour la dengue, le zika et le chikungounya... Ce que niaient nos "scientifiques" alors qu'ils l'ont appris sur les bancs d'école.

Il est clair que le charlatanisme et l'escroquerie, pendant des mois, ont tenté d'asservir une bonne partie de l'humanité et c'est le capitalisme mondial qui en est sorti grand gagnant. Heureusement pour l'espèce humaine, tout comme chaque fois qu'elle a dû faire face à sa part d'ombre, il y a eu des femmes et des hommes qui ont eu le courage, à leurs risques et périls, de se dresser pour dire NON ! L'histoire ne retrace jamais une majorité d'individus mais toujours très peu de courageux qui, de par leur résistance, entrainent la majorité et arrivent tôt ou tard à imposer la raison.

Comme à chaque drame historique, il y a ceux qui ont été trompés par ignorance, ceux qui se sont laissés trompés par peur, ceux qui ont sciemment ou non participé à la tromperie - espérant en tirer un quelconque profit - et ceux qui ont organisé la tromperie par adhésion à l'idéologie de la tromperie. Et comme à chaque fois, chacun doit répondre de ses actes et la FSAS-CGTG s'attachera à participer à cette justice que l'on doit à toutes ces femmes et tous ces hommes qui ont plus souffert de la tromperie que du virus.

La FSAS-CGTG a toujours dénoncé et combattu les clivages qui ont été portés par ceux qui ont géré cette pandémie, les conséquences sont devenues des stigmates indélébiles dans tous les groupes sociaux, mais la FSAS-CGTG saura trier le vrai de l'ivraie tout en combattant les nouvelles tentations de division. Plus que jamais, la FSAS revendique une autre orientation sanitaire pour l'Archipel qui passe par :

L’arrêt de l'obligation vaccinale et la réintégration du personnel suspendu (Public, privé et libéral).
La formation de jeunes aux métiers sanitaires en soulignant les spécialités manquantes.
La remise en question de toutes les réformes appliquées depuis le Gouvernement Sarkozy.
L'abolition des A.R.S. au profit d'une véritable Direction Territoriale de la santé et du médicosocial.
L'arrêt immédiat de la T2A et la révision à la hausse du coefficient correcteur.
L'abandon du G.H.T. au profit d'une réorganisation coopérative hospitalière et non centralisatrice.
La redéfinition de l'action sanitaire en subdivisant le territoire pour rapprocher le soin de la population.
La sanctuarisation le nord-ouest de la Basse-Terre et ses hôpitaux (C.H.L.D.B. et C.H.M.S.) - de par sa stabilité géologique - comme repli sanitaire en cas de grande crise tellurique.
Le renforcement des hôpitaux de Saint-Martin et de Marie-Galante, si la télémédecine est une avancée elle ne peut être considérée comme la panacée sur des iles à risques majeurs.
Le renforcement de la psychiatrie et de ces structures extrahospitalières.
La mise en place d'un véritable secteur gériatrique et gérontologique autour de Palais-Royal.
L'articulation plus efficiente entre le sanitaire et le médicosocial.
Une véritable réparation du scandale de la chlordécone.
Le maintien et le renforcement des C.H.S.C.T., véritable contre-pouvoir du personnel soignant au profit des soignés.