Rien ne vas plus, mais c'est silence radio sur tout ce qui dérange ! Les accros à l'ARNm étaient d'une grande prolixité médiatique et d'un hyper moralisme contre tous ceux qui, par bon sens ou analyse intellectuelle voire scientifique, osaient s'interroger sur la gestion de la pandémie et/ou refusaient de servir de cobayes pour l'expérience clinique prétendument anti SRAS-COV. Que n'avons nous pas entendu sur les courageux qui ne demandaient qu'à comprendre et qu'on leur foute la paix ? Aujourd'hui, au fur et à mesure des événements qui se déroulent dans le monde, les erreurs de ces trois dernières années sont flagrantes, mais ici ... Chut !
¨Kobaaaay ! Mwen sèvi kobaaaay !¨ Ce tube de Kassav tombe à point nommé pour qualifier notre dramatique situation actuelle, contrainte sous une chape de plomb comme si de rien n'était. Les accros à la connerie humaine persistent et signent, malgré l'évidence, dans leur déni de la réalité en nous entrainant aveuglement vers le précipice.
Ils étaient nombreux à prendre la parole pour défendre l'indéfendable, par couardise ou sous l'effet de la corruption, mais aujourd'hui que le nombre de décès par l'injection ARNm est en augmentation - comme par hasard uniquement dans les pays anglo-saxons - les pompeux discours anti-complotistes se sont transformés en fatwa antirusses ou prétentieux projet de réforme d'un système de retraite qui n'a en rien besoin de l'être et pour cause, radio doit faire silence !
L'étendue des avis d'obsèques, en Guadeloupe, était un signe qui servait de baromètre en Août 2021 pour vilipender les moindres résistants à la doxa officielle. Aujourd'hui, nul d'entre les accros n'aurait encore observé que nombre de nos compatriotes meurent comme un essaim d'abeilles sous l'effet d'une pulvérisation toxique, et ce n'est pas le tintamarre autour des accidents de voitures qui doit cacher ce phénomène mais malgré tout, silence radio !
Certains cherchent à se rattraper autour du non-lieu dans l'affaire de la chloredecone, feignant de ne pas voir que ce non-lieu est la prémisse du non-lieu qui viendra quand il s'agira de juger tous les responsables et autres accros à la médiocre gestion sanitaire que nous avons connu. Il n'y a qu'à voir comment la cour de cassation a annulé la simple mise en examen d'Agnès BUZYN... L'antienne selon laquelle la justice est indépendante n'a jamais été aussi ténébreuse mais silence radio !
La France est le seul pays à refuser la réhabilitation des suspendus, le marquis de l’Élysée ne s'en émeut que peu, bien au contraire ! Le conseil scientifique Français semble être d'une plus grande rigueur que ceux des autres pays d'Europe. On n'ose plus affirmer qu' "On peut discuter de tout sauf des chiffres" mais on doit tout de même épuiser le stock de liquide de perlimpinpin, et pour ce faire on utilise une réclame usant d'un ring de boxe... La guerre est finie mais il faut un nouveau terrain de violence pour imprégner le message. Tout concours à affirmer que nous sombrons sous l'empire du non-sens humain au profit d'une lutte de classe sauvage, mais toujours et à jamais silence radio !
Pendant ce temps, nous assistons à un véritable sacrifice de la génération "COVID", tous ces enfants et adolescents que l'on a maltraité alors qu'ils n'étaient quasiment pas concernés par le virus. Bâillonnés pour rien, éloignés de leurs grands-parents, enjoints à ne pas jouer dans les cours d'école, obligés de suivre des cours en distanciel... Cette génération est en train de péter un câble dans leur famille ou dans leur première expérience d'étudiants à l'extérieur mais silence radio !
La "réforme" de la retraite est devenu une "cause nationale" à entendre les abrutis au service du marquis qui, lui, se promène, en Espagne. L'argent est bel et là, dans les poches de l'aristocratie financière qui vole la nation et expatrie son capital, mais on cherche encore à nous voler nos salaires différés pour la place boursière. On s'amuse à se référer à d'autres pays pour nous désigner comme étant des éternels râleurs mais, encore un heureux hasard, ces mêmes pays ont déjà réhabilité leurs suspendus - souvent avec excuses et salaires rétroactifs mais silence radio !
La fermeture de sites ou de médias opposants - ou déclarés comme tel - ne semblent aucunement déranger la conscience des accros à l'ARNm, grands moralisateurs tantôt devant l'éternel tantôt devant le grand architecte de l'univers. L'histoire nous enseigne qu'Hitler avait fait bruler les livres dans un silence assourdissant et que les juges et ecclésiastiques persiflaient les esclaves qui rêvaient de liberté ! Sommes-nous à l'aube d'un retour en arrière ? Peu importe, c'est toujours silence radio !
Nous assistons même à une vaine tentative d'utiliser les bonnes vielles dengue et grippe pour maintenir la terreur dans la population, puisque de l'aveu même du Préfet la Guadeloupe connait une immunité acquise généralisée à la COVID alors qu'elle est la mauvaise élève de l'expérience ARNm. Mieux, un simple message wattzapp a même suffi à vouloir créer l'émoi et faire croire qu'une "organisation" de soignants estampillés "vaccinés" serait prête à prendre les armes contre les estampillés "non-vaccinés"... Pour le coup, pas de silence radio !
Pendant ce temps, les professionnels des hôpitaux de la Guadeloupe tirent la langue jusqu'à n'en plus pouvoir et à tomber en arrêt maladie. Et les professionnels suspendus, eux, souffrent de la lâcheté et du silence des accros à l'ARNm. Mais ces derniers ont-ils une conscience humaine ou pratiquent-ils sciemment un cannibalisme de classe ? Nous préférons, sciemment, faire silence radio à notre tour... Chak kochon ni sanmdi a-y !
Pourtant, l'heure de la raison a plus que sonné ! La FSAS revendique, donc, une autre orientation sanitaire pour l'Archipel qui passe par :
- L’arrêt de l'obligation vaccinale et la réintégration du personnel suspendu (Public, privé et libéral).
- Le paiement des arriérés des ces professionnels qui n'ont aucunement fauté.
- La formation de jeunes aux métiers sanitaires en soulignant les spécialités manquantes.
- La remise en question de toutes les réformes appliquées depuis le Gouvernement Sarkozy.
- L'abolition des A.R.S. au profit d'une véritable Direction Territoriale de la santé et du médicosocial.
- L'arrêt immédiat de la T2A et la révision à la hausse du coefficient correcteur.
- L'abandon du G.H.T. au profit d'une réorganisation coopérative hospitalière et non centralisatrice.
- La redéfinition de l'action sanitaire en subdivisant le territoire pour rapprocher le soin de la population.
- La sanctuarisation le nord-ouest de la Basse-Terre et ses hôpitaux (C.H.L.D.B. et C.H.M.S.) - de par sa stabilité géologique - comme repli sanitaire en cas de grande crise tellurique.
- Le renforcement des hôpitaux de Saint-Martin et de Marie-Galante, si la télémédecine est une avancée elle ne peut être considérée comme la panacée sur des iles à risques majeurs.
- Le renforcement de la psychiatrie et de ces structures extrahospitalières.
- La mise en place d'un véritable secteur gériatrique et gérontologique autour de Palais-Royal.
- L'articulation plus efficiente entre le sanitaire et le médicosocial.
- Une véritable réparation du scandale de la chlordécone.
- Le maintien et le renforcement des C.H.S.C.T., véritable contre-pouvoir du personnel soignant au profit des soignés.
Basse-Terre, le 23 Janvier 2022.