Hasard, ce mot arabe correspondant à notre fameux grenndé, ne suffit plus à expliquer – dans son sens Français - le développement exponentiel d’effets secondaires de l’ARNm. Il est, donc, grand temps de faire le bilan funeste de cette injection ARNm, en dépit du déni généralisé des autorités et des Ayatollahs du génique. Le plus insupportable, dans cette affaire criminelle, est la double souffrance des nombreuses personnes qui ont accepté l’injection, sous la pression sociale ou la contrainte de la loi, et qui sombrent dans la peur, la déprime, le défaitisme… Bref ! Un sentiment d’avoir été trompées si ce n’est violées. Mais, ensemble et unis, nous devons nous battre pour démasquer responsables et coupables… Penga yo vini di nou yo pa té konnèt !
Les avertissements de la FSAS-CGTG, dès le 18 Décembre 2020, étaient plus que prophétiques au regard de ce que nous pouvons constatons aujourd’hui, dire que nous étions traités de complotistes à l’époque. Mais que disions-nous en substance :
« … Alors qu’un vaccin classique doit attendre plus d’une décennie pour sa mise au point, celui-ci débarque en moins d’une année boostant au passage la bourse et les actions pharmaceutiques.
En somme, nous devrions être des cobayes d’un laboratoire à ciel ouvert, qui pense nous inoculer un produit que même les politiciens bégayent à l’idée d’être servis en premier. Le groupe Pharmaceutique a l’origine de ce court-bouillon d’ARN a même pris les devants en s’assurant juridiquement ne pas être responsable des effets secondaires inconnus de tous… Rien que cela devrait interpeller nos responsables politiques mais ils préfèrent tourner la tête.
En fait, les pouvoirs publics ont sciemment fait le choix d’un deuxième risque sanitaire, quant aux effets secondaires, en investissant des milliards pour acheter des fioles de cette solution plutôt que d’investir cet argent en moyens de prévention et de traitement, tout en laissant le temps au temps à la recherche pour trouver une vraie issue vaccinale au nom du principe de précaution.
Le choix est clair, plutôt le fric que l’humain ! Car, en dernier ressort, c’est nous qui paierons la facture grâce aux impôts, mais ce sont de grosses firmes privées qui se goinfrons peu importe les conséquences… ».
Aujourd’hui, commencent à émerger, ce que nous pressentions très tôt, une escroquerie scientifique a enrichi une minorité et paupérisé la majorité. Ainsi, l’article 5.5 du contrat de vente de Pfizer à l’Afrique du sud, qui date de Mars 2021, stipule ce qui suit : « … L’acheteur reconnait que le vaccin et les matériaux liés au vaccin, ainsi que leurs composants, sont en cours de développement et, en raison des circonstances d’urgence de la pandémie de COVID 19, continuerons à être étudiés après la fourniture du vaccin à l’acheteur en vertu du présent accord. L’acheteur reconnait, en outre, que les effets à longs termes et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle… ».
Voilà de quoi expliquer pourquoi l’Europe refuse de dévoiler son contrat, négocié à huis clos et par SMS par une seule personne qui n’a jamais été élue, mais dont une fuite récente vient confirmer ce que tous savaient : Pfizer et les autres ont vendu du frelaté ! Le plus dramatique est que les mêmes, qui ont tout fait pour nous faire croire en l’ARNm et l’imposer, sont encore les mêmes qui font tout pour minimiser ou cacher les effets secondaires graves. Mais nous l’avons toujours dis et nous y revenons : Tous ceux qui ont activement ou passivement participé à cette escroquerie doivent rendre compte !
Nous l’avons affirmé, réaffirmé et les faits nous donnent raison :
- L’argument du soignant non-transmissible ne tient pas puisqu’on sait que le soignant « vacciné » est aussi transmetteur.
- L’argument de la protection contre les formes graves ne tient pas puisque l’on sait que les « vaccinés » peuvent développer les formes graves.
- L’argument du nombre élevé de « non-vaccinés » en réanimation ne tient pas, il n’y a qu’à voir le changement rapide de la communication du gouvernement… La raison est simple, les chiffres officiels démontrent le contraire.
- L’argument de l’ultime solution du tout-vaccination ne tient pas, puisque d’autres expériences appliquées dans d’autres pays ont démontré le contraire jusqu’à mettre en exergue que, hormis Cuba qui a fait le choix d’un vaccin classique et de traitements, tous les pays qui ont fait ce choix subissent un regain de la pandémie. L'Afrique et Haïti, pour une fois, devraient être une boussole en matière d'immunité !
- L’argument de l’absence de traitements est faux, les pays qui ont fait le choix de traiter en repositionnant des molécules connues ou en développant de nouvelles s’en sont mieux sortis et sans regain. A ce propos, il est bon de rappeler l’expérience mortifère et onéreuse du Remdésivir pour combattre le professeur Raoult et celui, plus récemment, de l’échec patent - ou du moins sa relative réussite sur des variants déjà affaiblis - du « traitement » de Pfizer et autres tentatives à base d’anticorps monoclonaux qui sont là pour démontrer que cette gestion est idéologique et non politique… Seuls les intérêts économiques des gros laboratoires priment.
- Il est tout aussi faux d’affirmer qu’il y a plusieurs milliards de personnes qui l’ont pris (sous-entendue l’injection ARNm) : D’abord, sur les plus de 7 milliards de terriens c’est une infime partie qui a fait ce choix (Occident, certains pays sud-américains, Afrique du sud et un Etat de l’Inde – le Kerala qui a fini par être bloqué par le Gouvernement central pour mettre en place le traitement à base d’ivermectine). Ensuite, des traitements divers et d’autres types de vaccins traditionnels ont été le choix ailleurs, sans compter le nombre incalculables de covidés qui s’en sont sortis naturellement. Enfin, il ne faut surtout pas confondre le nombre de « vaccinés », le nombre de doses injectées… et le nombre de doses achetées !
Il n’empêche que la loi sur l’obligation vaccinale est toujours une épée de Damoclès sur la tête des soignants et il est fort difficile, pour celles et ceux qui ont milité pour Pfizer – sciemment ou non – de se regarder dans une glace pour une autocritique saine.
Ainsi, après la « cobayisation » forcée de l’humain - pratique nazi qui ne dit pas son nom – c’est l’omerta totale des autorités et du fan club de l’ARNm sur les conséquences graves et c’est bien là que nous devons être inflexibles. Dans les pays anglo-saxons, y compris aux Etats-Unis, une multitude d’études et décisions de justices reconnaissent aussi bien les effets secondaires que l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine… toujours rien en France.
Pour autant, le fameux bon sens humain est venu mettre un milieu dans l’affaire. Depuis le début de la dernière campagne de « vaccination » du 02 Octobre dernier, seulement 4% des plus de 65 ans, 1,4% des soignants hospitaliers et 2% des libéraux ont accepté un rappel… Pas besoin d’être « scientifique » pour constater l’évidence, il suffit de s’être fait prendre une fois. Mieux ! Il suffit de lire la notice de Pfizer et le Vidal pour constater la liste des effets secondaires mais… Pé la !
Il vaut mieux éliminer de vieux médicaments contre le rhume accusés, comme par hasard, d’être à l’origine de maux qu’il ne faut surtout pas attribuer à l’ARNm. Il faut bien comprendre que c’est un marché juteux, dont les recherches ont été essentiellement financées par des fonds publics, et l’on prévoit que la technologie génique remplace à terme nos apothicaires. Ce n’est, pour le coup, pas un hasard de voir fleurir plein de projets à base de thérapies géniques pour tous les maux, y compris les cancers. Le grand SANOFI est soit hors-jeu, soit prudent pour préférer les bons vecteurs viraux adeno-associés… Plus éprouvés que l’ARNm.
Pendant ce temps, un politicien, accessoirement biologiste et complètement à l’ouest, vient nous faire une leçon de chauffage d’eau sale du robinet. Cette veine de politiciens qui nous ont habitués aux revirements après avoir été guéris grâce à des molécules puis, sous pression, sont devenus de fervents adorateurs de l’ARNm… Il semble même que peu d’entre eux aient pris le risque de s’injecter la chose en dépit des circonvolutions médiatiques de certains pour faire vrai.
Aujourd’hui, les mêmes font la chasse aux « antisémites » qui refusent de qualifier le HAMAS (sous-entendue la cause Palestinienne) de terroriste, une pratique éprouvée contre les « complotistes » et les « poutinistes ». Pourtant, toutes ces tentatives sont à chaque fois invalidées par les faits : L’ARNm n’est aucunement au point pour en faire un vaccin, Poutine gagne « sa » guerre, la très grande majorité du monde soutient la Palestine.
Ce constat concerne aussi nombre d’intellectuels, de journalistes, de personnalités divers et variés et, surtout, de vénérables représentants du corps médical devenus moins loquaces depuis qu’ils ont fini par se rendre compte qu’on les a mené en bateau… Sur des vagues scélérates. Même si quelques-uns s’agrippent encore à leur credo génique, sidérés par l’évidence, et plongent dans le déni généralisé et la banalisation des effets secondaires. Ka-w vlé fè ? Ils ont eu une confiance aveugle dans les déclarations des laboratoires ou peut-être était-ce autre chose, les mauvaises langues parlent d’une corruption institutionnelle qui commence au berceau… Sur les bancs de la Fac !
Ces évènements ont été possibles grâce à une longue et patiente planification néolibérale consistant à déréguler les activités sanitaires et permettre une corruption généralisée. Le reste a été facilité par l’intervention à grande échelle de pratiques d’ingénieries sociales pour provoquer une telle sidération que tout était possible, même l’ineptie la plus abjecte.
Aujourd’hui, les autorités refusent de publier les vrais chiffres pour une méta-analyse, par peur d’être confondu, après en avoir joué longuement à mauvais escient durant trois années. Ils ont joué au grenndé avec nos vies, nos familles, notre société, notre humanité mais tout cela a un prix qu’ils doivent payer.
La FSAS réaffirme qu'il n'y a ni "pro-vax" ni "anti-vax" mais des citoyens et des travailleurs lucides qu'on a voulu exclure et humilier et d'autres qui ont été abusés par la volonté vicieuse du gouvernement de cliver pour faire passer ses lois autoritaires qui n'ont rien de sanitaires. Le temps est venu pour que les travailleurs de la santé et du médicosocial ainsi que la population entière, se retrouvent, s'unissent et combattent leur seul et unique adversaire qu'est la tyrannie de l'oligarchie politique, financière et sanitaire.
Yo jwé grenndé èvè kô an-nou… Fô yo péyé-y kôtôk !
La FSAS-CGTG appelle celles et ceux qui ont été injectés, et souffrants, à se relever et rejoindre les rangs de celles et ceux qui militent à imposer la reconnaissance des effets secondaires.
Pa pè, pa wont ! Sé yo pou pè, sé yo pou wont… sé yo pou péyé !
La FSAS-CGTG maintient ses revendications pour une autre orientation sanitaire pour l'Archipel et :
- L’abrogation de l'obligation « vaccinale ».
- Le paiement des arriérés des professionnels résistants qui n'ont aucunement fauté.
- La reconnaissance des effets secondaires graves des solutions à base d’ARNM.
- L’indemnisation à la hauteur des préjudices moraux, physiques et psychiques…
Basse-Terre, le 27 Octobre 2023.
Version PDF