Nous rééditons, ici, un tract de notre fédération datant de Septembre 2017 et relatant, déjà, les dysfonctionnements au sein de cette institution, ainsi que divers courriers où la FSAS-CGTG interpellait sur ces dysfonctionnements. Nous rappelons que le Conseil d'Administration est paritaire et que la FSAS-CGTG y siège, à ce titre, mais demeure minoritaire.
Au vu du fait que le C.G.O.S.H. soit financé par des fonds publics (selon la masse salariale des hôpitaux de Guadeloupe, de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy), la chambre Régionale des compte a mener des investigations qui doivent révéler ce que nous dénonçons, voire plus. Les conclusions étaient très attendues, la FSAS-CGTG en a été destinataire ce vendredi 25, pour préparer un Conseil d'Administration prévu le mardi 29 Septembre prochain, ce pourquoi nous avons demandé un report pour avoir le temps d'en analyser la teneur.
Ce n'est pas un hasard si la FSAS-CGTG est la dernière composante à recevoir ce document, elle dérange ! D'autres ont préféré, comme des rats quittant un navire coulant après avoir profité des denrées, "l'attaque" en laissant croire qu'ils ne sont responsables de rien. La FSAS-CGTG reste sereine et analysera les conclusions de la C.R.C. avant d'exposer, publiquement et sous peu, son positionnement quant à l'avenir du C.G.O.S.H.... Au point où on en est, rien ne sert de courir ! En tout état de cause, trois solutions s'annoncent à nous :
- Le statut quo sous réserve de la mise sous tutelle de l'A.R.S..
- La mort de l'existant et la création d'une nouvelle structure sur d'autres bases.
- La mort de l'existant et le recentrement vers le C.G.O.S.H. National.
Dans l'une ou l'autre solution, les mêmes qui ont profité et refusé d'entendre la voix de la FSAS-CGTG, sortiront leurs larmes de crocodile et mettrons en avant la "Guadeloupéanité" pour les refuser. Mais il fallait être Guadeloupéens et responsables avant, on a préféré faire montre d'infantilisme de par des comportements inadaptés au sein du C.G.O.S.H.. Pendant ce temps, les agents hospitaliers sont en attente de leurs droits en œuvres sociales. Quoiqu’il en soit, la FSAS-CGTG ne laissera quiconque la salir, encore moins se débiner alors qu'elle tire la sonnette d'alarme depuis tantôt. A suivre !
Suite en pièce jointe.