Politique de santé publique ou radicalisme pseudo-sanitaire ?

Publié par FSAS-CGTG sur 8 Octobre 2021, 23:41pm

« On a un énorme réservoir de personnes à contaminer ! », ce lapsus sorti de la bouche même de l’ARS – sans aucune rectification - lors d’une conférence de presse en dit long sur ce qui se trame. Après le « façon catastrophique » de la préfecture, susurré à l’oreille de l’ARS lors d’une autre conférence de presse, les choses semblent bien se préciser par des actes manqués. Pour enfoncer le clou, revoilà notre journaliste militant radical-ARNiste qui nous promet la misère, la sénilité et le néo-Bumidom tant que les injections ARN resteront en stock. Une menace à peine voilée, on se croirait dans les années 60 sous la propagande Départementaliste de « La mère patrie ou l’assiette vide »… décidément rien ne peut être changé sous le soleil de ces saigneurs !

Un lapsus masquant un hiatus, cela conforte visiblement la récidive puisque le même mode opératoire qu'en Juin- Juillet est de retour pour le même crime : Importer le virus par des quidams "vaccinés" pour punir ceux qui refusent de se plier à la doxa, comme le dit si bien l’auteur Brésilien « Une erreur constamment répétée n'est plus une erreur, c'est un choix ! ». En plus de commettre ce crime on oppose les voyageurs "vaccinés", qui seraient libres, aux non-vaccinés qui deviennent des parias puisqu'il leur faut un motif impérieux et des tests à tir larigot.

Aucun intellectuel de la place ne se sent offusqué par de telles mesures ? On sait pourtant que le "vacciné" peut choper - charroyer - transmettre le virus et même en tomber malade... Nos intellos-donneurs de leçons préfèrent paradoxalement se terrer sous la pierre tombale de la peur de mourir, avec un petite sortie antisyndicale de temps à autres. Les faits scientifiques sont pourtant sous leurs yeux dans nombre de pays : inefficacité de cette injection et ce n'est pas le "pour se protéger des formes graves" qui lui donne plus de crédit.

Mais en France, on préfère encore y croire quitte à injecter une, deux, trois, quatre, cinq, six... fois. Quelle est la logique de ce radicalisme pseudo-sanitaire qui s’est habillé des haillons de la santé publique ? On pond une loi qui parle d’obligation vaccinale, or on impose un produit couteux que l’on martèle être un vaccin sans exiger qu'il réponde à la commande, à quelle véritable fin ? Le délai de péremption du produit ARN serait fixé au 15 Octobre selon les mauvaises langues, aussi la pression est donc forte.

L'ARS, à la MILGRAM, a convoqué toutes les Directions concernés par l'obligation "vaccinale" et les poussent, par un chantage au financement, à l'irréparable... Le morcellement des responsabilités et l'obéissance confortable feront le reste. Mais que chacun soit bien conscient de ses implications, nous sommes conscients des nôtres : Pa di apwé zôt pa té sav !

Par ailleurs, comment se fait-il qu’il y ait eu une loi dérogatoire pour autoriser le chlordécone et que cela soit impossible, aussi par dérogation, d'ouvrir la panoplie à des vaccins conventionnels - existants - pour la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane ? Si c'était possible pour les puissants de la banane, c'est possible pour le reste de la population ? SA-Y BON POU ZWA DWET BON POU KANNA et cela couterai bien moins cher de faire venir de vrais vaccins en provenance de notre voisine Cuba, moins gloutonne que les labos transnationaux qui se gavent pour un résultat négatif.

Quant aux milliers de cas-avérés sans compter les cas-marrons - ceux qui ont eu la COVID mais restés inconnus du QRCode - ils constituent un véritable réservoir difficilement contaminable au vu de leurs anticorps naturels bien plus efficaces que l'ARN, on leur exige malgré tout "une dose" d'ARN à deux mois maximum suivant la convalescence... Où est la science dans cette décision complètement stupide ? A cette allure-là, nous allons devoir accepter l’ARN Covid, l'ARN-Dengue-Zika-Chikoungounia, un "quatre en un" - sans compter les "soupakongo" du genre Pfizer / Moderna désormais autorisé. Non ! La science et la médecine sont utilisées à mauvais escient et il faut le dénoncer.

Et Jupiter, sans scrupules, qui veut se débarrasser de son stock d’Astrazénéca - le pire de ces produits - en le refilant à l’Afrique qui a déjà gagner la bataille en faisant le choix du bon sens, hormis certains pays comme l’Afrique du sud qui sont au même stade que la France pour avoir choisi la même voie. Il n'y a aucun doute possible, cette affaire n'a rien à voir avec la santé publique mais nous assistons, en direct, à de l'économie sanitaire de marché... Une branche vicieuse et en pleine expansion du capitalisme sauvage qui se donne les moyens de corrompre, bien malgré les morts et la santé des vivants.

Quand on pense que la politique de santé publique revient aux États et non à l’Union Européenne et que des pays de l'U.E. ont fait d'autres choix d'une plus grande intelligence au profit de leur population. La France, entrainant avec elle la Guadeloupe- la Martinique - la Guyane, a choisi de se soumettre aux lobbies de Bruxelles pour un profit lamentable. Cerise sur le gâteau, elle instaure un laissez-passer sanitaire inspiré de son passé colonial du régime de l'indigénat mais appliqué, désormais, à tous ceux qui refusent l'injection ARN sur son sol... Comme 1802 ou en 39-45, les lumières se sont à nouveau éteintes !

La FSAS-CGTG plus que jamais très prudente sur les injections ARN et dit aux autorités que s’ils sont cohérents, ils doivent mettre des vaccins conventionnels (Sinovac, Soberana, Abdala, Valneva…) - ou même le spoutnik (Vaccin à vecteur viral très efficace) - à la disposition de la population… Chiche !

LA FSAS-CGTG EXIGE :

DES MOYENS ET DES TRAITEMENTS EFFICACES POUR SOIGNER !
LA RECONNAISSANCE DU TRAVAIL DES PROFESSIONNELS !
LE RESPECT DE LA LIBERTE INDIVIDUELLE DE PARTICIPER OU NON A L’ESSAI CLINIQUE A BASE D’ARN CONTRE LA COVID !
L’ARRÊT DU LAISSEZ-PASSER SANITAIRE !
L’AUTORISATION POUR LES VACCINS CLASSIQUES EXISTANTS DEJA OU EN PASSE DE L’ÊTRE !
LE RETRAIT DE CETTE LOI ANTIDEMOCRATIQUE ET CONTREPRODUCTIVE SUR LE PLAN SANITAIRE !