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Véyatif

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Fédération Santé et Action Sociale (FSAS-CGTG). " Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu ". Bertolt BRECHT


Guadeloupe : La dose de trop !

Publié par FSAS-CGTG sur 30 Novembre 2021, 08:21am

« Celui qui aime tuer doit aimer mourir ! »

Proverbe créole

Depuis le mois de janvier 2020, au moment même où les chinois avertissaient le monde de la dangerosité du virus de la COVID, le gouvernement était encore « rassuriste » au point de qualifier la pandémie de simple grippette. Depuis, sont passés des mois d’erreurs et de décisions incohérentes aboutissant à des scandales et à la mise en danger permanente des citoyens et des soignants. Les rares scientifiques ou intellectuels qui ont eu la lucidité de s’interroger, voire de critiquer, ont connu le bannissement social.

La dernière trouvaille magique de nos apprentis-sorciers de dirigeants est l’essai clinique à base d’ARN messager ou à vecteur viral – nouvelles biotechnologies ultra rentables financièrement nous plongeant dans l’inconnu sanitaire -  que l’on nous a présenté comme étant la solution ultime à plus de 90% dès le début, puis à moins de 50% jusqu’à advenir juste une « protection des formes graves » et, finalement, mutant en obligation absolue pour les soignants pour, de manière à peine voilée, être habilement « conseillé » à tout un chacun.

Le problème est que, voulant aller trop vite pour imposer cette « nouvelle technologie vaccinale », les autorités de tous les pays occidentaux ont commis l’erreur d’interdire à la médecine de faire ce qu’elle sait faire depuis toujours : soigner. Nous faisons face à une véritable gestion idéologique tant sur le choix économique et de la réponse thérapeutique que sur le choix des contraintes de mise en place pour faire passer la pilule, ou plutôt la dose.

En Guadeloupe, la situation est bien plus complexe et noble que ne laisse entrevoir le mépris néocolonialiste au travers des propos qui nous qualifient de vodouïsants ou d'alcooliques pour expliquer notre rétivité. La situation est complexe parce que les événements sont multifactoriels et, noble, parce que nous avons à faire à une population dans une rectitude qui surprend même les plus révolutionnaires. Nous avons connu bien plus par le passé et nous nous en sommes toujours sortis. L’effet sidération post premier confinement terminé, l’ile a repris goût à la vie contre les pulsions de mort covidiennes nonobstant toutes les tentatives officielles de lui maintenir la tête sous l’eau.

Depuis le 17 juillet, et chaque samedi, des organisations syndicales - politiques et associatives diverses ont pris le pari de marcher dans les quatre coins de l'ile et de s'expliquer face à la population, seul moyen massif pour contrebalancer la propagande et les mensonges officiels. D'ailleurs, tous les tenants de la parole officielle n'en reviennent toujours pas de cette extraordinaire réussite qui déconstruit leurs puissants moyens : sondages tordus, publicités "vaccinales" et attaques médiatiques hors normes. Tout un système propagandiste est mis en échec, c'est la raison pour laquelle les mensonges de bas étage fusent désormais, démasquant les autorités furieuses d’avoir échoué.

Ainsi, nous faut-il prendre les faits par le commencement pour bien comprendre la colère populaire et le mouvement social en Guadeloupe. Notre économie est fondée sur les mêmes modalités coloniales et post-esclavagistes depuis 1848, ce qui induit un fonctionnement social qui respecte les mêmes lois d’antan en termes, non seulement de classes, mais aussi de races en dépit des tentatives libérales et néo-gauchistes voulant faire croire qu’il suffit de supprimer les termes de l’ancien pour qu’apparaissent le nouveau.

.... La suite en pièce jointe

Guadeloupe, la dose de trop !

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