Que se passe-t-il donc à la Bailliffienne des Œuvres Sociales (B.O.S.) ? Voilà une association qui n’a de cesse de connaitre des hauts et des bas, uniquement sur du fait d’un Président qui n’a pas encore compris qu’il est seulement gestionnaire de financements publics.
Nous l’avions expliqué, dans notre tract d’Octobre 2023 donnant les raisons de la démission de deux de nos élues au sein du C.S.E., les salariés doivent bénéficier d’avenants conventionnels révisant leur carrière professionnelle et leur salaire, mais un seul personnage s’amuse à bloquer l’évolution professionnelle et salariale des petites mains qui font tourner la boutique : Le Président !
Monsieur se croit intouchable et omniscient et rejette toutes ses propres fautes sur les autres. Un temps, c’était l’ancien Directeur qui a pourtant tout fait pour que les salariées puissent avoir gain de cause.
Un autre temps, c’étaient les administrateurs qui le dérangeaient. La FSAS-CGTG a même été accusée d’avoir été à l’origine des maux de la structure, alors qu’elle a tout fait pour défendre les salariés en privilégiant la négociation. Maintenant, il semble bien que ce serait le chargé de mission du Conseil Départemental qui pose problème à tout bout de champs… simplement parce que qu’il a imposé le respect de la convention.
Voilà que nous apprenons que les salaires de Février n’ont pas été réglés en temps et en heure… Un huissier aurait bloqué les comptes de la B.O.S. au simple fait que Monsieur le Président refuserait de régler la condamnation prononcée contre lui par un jugement au profit de l’ancien Directeur. Le Président n’a pas fait appel du jugement, et pour cause, mais décide unilatéralement et publiquement « An péké fouté-y anmèd ! »… Selon une source proche, choquée d’une telle posture !
Qui a payé les pots cassés ? Qui aura à gérer des agios à cause de cette posture indigne d’un responsable d’association ? Qui est manipulé par des mensonges à longueur de journée ? Ce sont les salariées qui craignent, ont peur, ne comprennent pas ce qui se passe !
Il est grand temps pour le personnel de se prendre en main pour défendre ses intérêts et cela passe par le refus de croire aux boniments du Président et de ses relais. Cela passe par le combat syndical et solidaire !
Il est grand temps pour que le financeur public, le Conseil Départemental, fasse mieux que de nommer un chargé de mission.
Il est temps pour que la justice mette son nez sur un certain de dysfonctionnements dans cette petite structure avec un Conseil d’Administration clanique et familiale.
Il est temps de mettre un milieu dans cette affaire qui n’a que trop durer !
Salariées de la B.O.S. ne vous laissez plus prendre par les cancans et autres mensonges, nous vous avons toujours défendu et nous serons toujours vos défenseurs.
Même non-élues, avec notre organisation syndicale nous continuons le combat là où il faut !
REJOIGNEZ LE COMBAT SYNDICAL POUR GAGNER !