« 44,44 % », un chiffre qui circule sur les réseaux pour affirmer que près de 50% de la population Guadeloupéenne aurait fait le pas de la « vaccination ». Parallèlement, et lors de la dernière conférence de presse expéditive des autorités, nous apprenons que plus de 50% des soignants auraient fait de même. Il faut dire que les pressions et les menaces sont de mise jusqu’à compromettre l’avenir de la jeunesse, en passant par promettre la précarité aux travailleurs et citoyens qui osent réfléchir et résister à la bêtise humaine … Quelle honte !
Ce qui est assez bizarre dans cette guerre propagandiste des chiffres, c’est la géométrie variable dont font montre les « statisticiens » de service pour faire croire que ce qui est, n’est pas et que ce qui n’est pas, est. Ainsi, pour comptabiliser les nombreux morts du C.H.U.G., au mois d’Août, tous les « premières doses » et autres « deuxièmes doses moins de 15 jours » étaient dans les rangs des « non-vaccinés », la cause était de faire croire que ce qui était, n’était pas. Ici, c’est l’inverse, les mêmes retrouvent leur noblesse parmi les « vaccinés » pour les besoins de la nouvelle cause : faire croire que ce qui n’est pas, est !
Pourtant, les manifestations syndicales ont une popularité indéfectible, contrairement à la vingtaine de masqués-incognito qui ont défilé à Basse-Terre dernièrement. Pourtant, l’inquiétude a bien changé de camp quand on voit une institution comme la ligue des Droits de l’Homme tergiverser pour finalement dénigrer les organisations syndicales en reprenant les thématiques de l’ARS sans aucune précaution d’usage.
Le voile se lève, donc, sur l’escroquerie intellectuelle qui règne dans les salons feutrés de l’ « intelligentsia » Guadeloupéenne, incapable de prospecter et d’orienter le peuple. Fanon disait que chaque génération devait remplir ou trahir sa mission, dans une relative opacité… Certains sont d’une opacité absolue ! Où sont-ils face à la prolongation de l’urgence sanitaire enveloppée de la douce expression de « vigilance sanitaire » ? Où étaient-ils lors de l’incendie du CHUG ? Où étaient-ils quand nous demandions des moyens pour soigner… Juste quelques mois avant la COVID ?
Peu importe les tentatives mal faites de soutien à l’ARN, les autorités doivent impérativement faire grimper les chiffres en Guadeloupe – Martinique et Guyane car le calendrier appelle à une troisième dose bientôt, et nous serions pires que des gaulois réfractaires : des empêcheurs de conspirer en rond. Même les médecins indociles en prennent pour leur grade, on leur consacre un sujet de journal télévisé sans jamais leur donner la parole… C’est dire à quel point une minorité de 14% peut-être dangereuse.
Alors, enragées ou désespérées, les autorités s’en prennent lâchement à la jeunesse en formation, étudiante ou entrant dans la vie professionnelle. Après avoir conditionné une génération entière devant des émissions de crétinisation de masse tout en réduisant la qualité de la scolarité, tout est fait pour les broyer dans la soumission par la « vaccination » forcée même pour aller au… cinéma.
Enragées ou désespérées, les autorités acculent des femmes et des hommes à un choix qui relève des pires dictatures, le ventre ou la conscience. Malgré les faits qui démontrent que des complications sérieuses post-injection existent, en dépit des mensonges et du déni des autorités. Bref ! Tout est fait pour aller droit au mur, quitte à utiliser la science à mauvaises fins, l’essentiel est de tout faire pour effacer la tâche d’huile que nous sommes en Guadeloupe, Martinique et Guyane - mais qui défie les calculs du cabinet d’ingénierie sociale qui gouverne à la place du Gouvernement.
L’histoire est d’une inspiration déconcertante quand il s’agit d’observer le présent. Ainsi, La Guadeloupe a connu une épidémie de Choléra, entre Octobre 1865 et Juin 1866, où elle a perdu 15% de sa population – on mourrait dans la rue, cela n’a pas empêché au bon sens d’éradiquer cette épidémie en 8 mois – sans hôpitaux et surtout… sans ARS. Ce qui comptait, à l’époque, ce n’était pas de respecter un almanach idéologique.
Le 18 septembre 1972, le ministre de l’Agriculture et de l’Aménagement rural de l’époque, Jacques CHIRAC, délivrait une A.M.M. provisoire pour le chlordécone, un provisoire qui vas durer jusqu’au début des années 2000 grâce à une dérogation obtenue en 1993… S’ils peuvent déroger pour nous empoisonner, ils doivent pouvoir déroger pour ne pas nous empoisonner !
Il aurait été si simple, dans une Démocratie qui se respecte et une République qui s’honore, de prendre le taureau par les cornes en sortant du déni des traitements et du déni de l’échec ARN, en ouvrant l’offre vaccinale à de vrais vaccins plus efficaces et en reconnaissant ses erreurs… Mais nous sommes en guerre et visiblement, il est plus simple de montrer ses muscles - faute de raison et de bon sens – cependant, les muscles du peuple triomphent toujours, aujourd’hui - demain ou après-demain.
La FSAS-CGTG - plus que jamais - reste très prudente sur les injections ARN. Les autorités doivent autoriser des vaccins conventionnels (Sinovac, Soberana, Abdala, Valneva…) - ou même le spoutnik (Vaccin à vecteur viral très efficace) - et les traitements existants par dérogation !
LA FSAS-CGTG EXIGE :
- DES MOYENS ET DES TRAITEMENTS EFFICACES POUR SOIGNER !
- LA RECONNAISSANCE DU TRAVAIL DES PROFESSIONNELS !
- LE RESPECT DE LA LIBERTE INDIVIDUELLE DE PARTICIPER OU NON A L’ESSAI CLINIQUE A BASE D’ARN CONTRE LA COVID !
- L’ARRÊT DU LAISSEZ-PASSER SANITAIRE !
- L’AUTORISATION POUR LES VACCINS CLASSIQUES EXISTANTS DEJA OU EN PASSE DE L’ÊTRE !
- LE RETRAIT DE CETTE LOI ANTIDEMOCRATIQUE ET CONTREPRODUCTIVE SUR LE PLAN SANITAIRE !
Prochain RDV : Samedi 23 Octobre 2021 au Bourg de Sainte-Rose
Pour notre dignité et l’avenir de nos enfants, soyons nombreux !
(NOUS MANIFESTONS EN TEE-SHIRT FEDERAL - AVEC MASQUE ET GEL – EN GARDANT LES DISTANCES).
Basse-Terre, le 20 Octobre 2021